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Expression écrite sur la violence à l'école

Production écrite sur la violence à l'école 1

productions écrites sur la violence à l'école

Actuellement, la violence en milieu scolaire connaît une augmentation sans précédent et devient une préoccupation mondiale. On constate des agressions réalisées par des élèves contre leurs camarades ou à l’égard de leurs enseignants. De plus, les élèves indisciplinés pourraient voler des objets personnels à leurs camarades. De nos jours, on assiste à un durcissement de cette violence, étant donné que les élèves deviennent tueurs d’autres élèves ou des enseignants. Mais quelles sont les causes majeures de cette violence ?

En premier lieu, il existe une multitude de facteurs familiaux et scolaires sans oublier les traits de caractère individuels. En effet, c’est la crise que traverse la famille actuelle, puisque les horaires surchargés des parents ne leur permettent pas de se consacrer à leurs enfants. D’une part, certaines familles n’assurent pas l’unité de leurs membres. Ainsi, les enfants se sentent délaissés à cause de l’indifférence de leurs parents.

En deuxième lieu, la pression exercée sur les élèves en raison de programmes scolaires surchargés ne leur laissent pas de temps libre. Les enfants protestent contre le système éducatif inadapté à leurs besoins. 

Ainsi, l’école ne les prépare pas pour s’intégrer dans la vie socioprofessionnelle. En outre, la période de l’adolescence se caractérise par un comportement révoltant car les jeunes veulent imposer leur présence dans le milieu amical et ont un goût pour la provocation. 

De plus, les mass-médias exercent une influence négative avec la diffusion des images violentes. Il est incontestable que tous ces facteurs de risques s’alternent dans les zones où l’exclusion est la plus forte.  Mais comment pourrait-on lutter contre la violence ? 

D’abord, il faut souligner que la sécurité des enfants s’avère indispensable. De plus, la stabilité des équipes éducatives et le travail en équipe sont les meilleures protections contre la violence scolaire. En outre, la formation des enseignants à la gestion de la violence et le travail avec les associations des quartiers et les parents des élèves sont des mesures indispensables. 

D’autre part, les chefs d’établissement doivent être soutenus et aidés par les assistants sociaux mais aussi par la police quand il s’agit de faits délictueux. Finalement, l’embauche de vigiles privés pourrait affronter le comportement agressif et garantir la sécurité des élèves et des enseignants.

Pour conclure, on se trouve face à une délinquance très antisociale mais la mise en place des mesures efficaces pourraient affronter ce problème grave.


Production écrite sur la violence à l'école 2

Les enquêtes et les sondages d'opinion montrent que « les actes de violence » sont en vigueur au sein des établissements scolaires. Mais, les causes de ces actes divergent d'un milieu à l'autre, ce qui obsède incessamment l'esprit des gens qui veillent sur le domaine éducatif, les incitant ainsi à rechercher des solutions susceptibles d'éradiquer cette calamité.

D'abord, la démission des parents dans l’éducation des enfants aggravée par le chômage et la pauvreté qui les rendent incapables d’acheter les fournitures et payer certaines taxes (droit d’inscription, gardiennage…), ce renoncement favorise les comportements violents à l’école et la délinquance juvénile.

Ensuite, la violence ne se limite pas aux élèves eux-mêmes, mais elle arrive aussi à impliquer le corps éducatif, surtout les enseignants, dans ce gouffre. En effet, l'absence de communication entre les professeurs et les élèves, peut entraîner une certaine incompréhension qui aboutira à des paroles ou des gestes grossiers.

En outre, l’absence ou le non fonctionnement des structures démocratiques devant favoriser la concertation et le dialogue amène souvent les élèves à trouver d’autres voies pour se faire entendre.

Enfin, la surcharge démesurée des classes scolaires engendre la violence, étant donné que les circonstances déplorables dans lesquelles étudient les élèves ne permettent guère de s'harmoniser avec une ambiance estudiantine normale si bien quel’intolérance et l’incivilité règnent en maître. D'ailleurs, certains adolescents exploitent cette surcharge croissante pour s'affranchir de toutes les règles et affirmer leurs volontés. Ils se transforment ainsi en provocateurs intolérables.

Par conséquent, les responsables administratifs et pédagogiques sont appelés à instaurer la stabilité et la sûreté dans les institutions puisque la violence en menace l’équilibre. En d'autres termes, il s'avère indispensable de combattre avec détermination les actes qui se produisent dans les écoles : le bien-être de la majorité des élèves devrait l'emporter sur celui de l'élève délinquant et il faudrait tout mettre en œuvre pour aider les élèves intransigeants et les ramener sur le droit chemin.

En définitive, il est primordial de prendre des mesures aptes à rendre à l’école sa mission essentielle et à sensibiliser les différents intervenants à la communication et à la tolérance : « La prévention vaut mieux que la guérison », dit le dicton.

Production écrite sur la violence à l'école 3

Un grand fléau de notre époque est l’agressivité qui domine dans le monde et plus spécifiquement la violence scolaire. En effet, la violence scolaire a lieu dans les établissements scolaires à cause des problèmes d’indiscipline. Mais comment peut-on expliquer ce comportement des élèves malveillants ?

En premier lieu, c’est la crise que traverse la famille actuelle, puisque les horaires surchargés des parents ne leur permettent pas de se consacrer à l’éducation de leurs enfants. D’autre part, il existe des familles qui n’assurent pas l’unité de leurs membres. De cette manière, les enfants se sentent isolés à cause de l’indifférence de leurs parents. Par conséquent, ces enfants adoptent un comportement agressif à l’école.

En deuxième lieu, les enfants n’ont pas de temps libre en raison des programmes scolaires très lourds. Cette pression exercée sur les élèves oblige les enfants à protester contre le système éducatif inadapté à leurs vrais besoins. Enfin, on observe que l’école ne prépare pas les élèves pour s’intégrer dans la vie socioprofessionnelle. Un exemple est que dans certains pays, les activités parascolaires connaissent un essor, étant donné que leur système scolaire valorise seulement la réussite aux examens.

En troisième lieu, la période de l’adolescence se caractérise par un comportement révoltant car les jeunes veulent s’imposer dans leur milieu amical et ont un goût pour la provocation. De plus, les mass-médias et les jeux vidéo exercent une influence négative avec la diffusion des images violentes.

En fin de compte, les problèmes d’indiscipline demeurent plus graves au Maroc que dans d’autres Etats. Pourtant, il ne faut pas oublier que pour chaque problème il existe des solutions et qu’il est nécessaire de démocratiser le système scolaire.
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Production écrite sur la violence à l'école 4

Aujourd’hui, nul jour ne passe sans que les journaux ne parlent d’élèves violentés ou d’enseignants agressés. La violence au sein de nos établissements scolaires est ainsi devenue très inquiétante. Sa propagation, due probablement à divers facteurs, doit mobiliser les efforts de tout le monde afin que ce fléau disparaisse ou au moins régresse.

Pour moi, la violence au sein de l’école est essentiellement due à l’incompréhension et à l’absence de communication entre les élèves et leurs professeurs. C’est le cas de certains enseignants qui ne donnent pas à leurs apprenants l’occasion de leur expliquer, par exemple, le motif d’une absence accidentelle ou la raison d’un manquement involontaire à leurs devoirs. Cependant, il y a des lycéens, turbulents, qui cherchent intentionnellement à provoquer leurs enseignants dont ils refusent l’autorité : ils se croient qu’en les bravant, ils imposeraient leurs lois à leurs camarades. 

Malheureusement, leurs bravades leur causent souvent des ennuis avec l’administration. En outre, le chahut et l’indiscipline de certains élèves poussent l’enseignant à agir parfois brutalement à leur égard de crainte qu’il ne perde le contrôle de sa classe. En voulant les punir à l’exemple, le professeur, éventuellement énervé, se voit confronté à une situation délicate qu’il n’arrive pas à gérer correctement. De surcroît, la consommation de drogue par quelques élèves pourrait, dans certains cas, être à l’origine de la tension qui règne dans les classes. 

À titre d’exemple, l’an dernier, un camarade de classe, ayant bu de l’alcool, vint assister, un mardi après-midi, à un cours d’anglais. Le professeur, courroucé, lui demanda de quitter la salle, mais le lycéen, ivre-mort, refusa en proférant de gros mots. L’enseignant le saisit violemment par le col de sa chemise et le poussa vers la porte. Un énorme bruit se produisit. Le vacarme ameuta d’autres enseignants qui intervinrent pour sortir l’élève. Deux jours plus tard, le conseil de discipline décida, à l’unanimité, de lui faire changer d’établissement. Bref, les raisons qui incitent à la violence sont multiples. Quelles mesures devrait-on alors prendre pour en limiter les effets désastreux?

Certes, il n’est pas facile de trouver des solutions convenables et efficaces à ce fléau, mais il faut, tout de même, essayer. Personnellement, je vois qu’on devrait, avant tout, commencer par instaurer un climat de confiance mutuelle entre les enseignants et les élèves. Le seul moyen d’y parvenir est de redéfinir, avec clarté, les rôles de chacun, les devoirs et les obligations. Ensuite, les lycéens, jugés turbulents ou insupportables, devraient être impliqués dans des ateliers pédagogiques( peinture, poésie, musique, théâtre...) afin qu’ils se sentent plus utiles aux autres et pour que leur énergie soit positivement investie : le film marocain « Classe 8 », réalisé par Jamal Belmajdoub montre, à ce titre, le rôle que peut jouer l’activité théâtrale dans la réinsertion des élèves, devenus violents.

En définitive, la violence scolaire est un phénomène très complexe. Mais ne croyez-vous pas sincèrement que la présence réelle des parents dans la vie de leurs enfants suffit, à elle seule, à en réduire les effets?

Production écrite sur la violence à l'école 5

La violence à l'école, triste réalité qui entache l'environnement éducatif, est un fléau qui compromet le bien-être des élèves et entrave leur apprentissage. Cette forme de violence peut revêtir diverses manifestations, qu'elles soient physiques, verbales, psychologiques ou sociales, laissant des cicatrices profondes dans le parcours éducatif des jeunes.

Les brimades et les intimidations entre élèves sont malheureusement des occurrences trop fréquentes. Les victimes de ces comportements subissent souvent des conséquences dévastatrices sur leur estime de soi et leur confiance en soi. L'école, qui devrait être un lieu de sécurité et d'apprentissage, se transforme parfois en un terrain de tension et de peur.

La violence verbale, les insultes, voire la stigmatisation, sont des formes de maltraitance psychologique qui troublent le climat scolaire. Ces agissements créent un environnement toxique, affectant non seulement les victimes directes, mais également l'ensemble de la communauté éducative. Les enseignants, dépassés par des situations de classe tendues, ont parfois du mal à maintenir un cadre propice à l'apprentissage.

Il est essentiel de comprendre que la violence à l'école n'est pas seulement un problème entre élèves. Elle peut également se manifester dans les relations entre élèves et enseignants, ou même entre membres du personnel éducatif. L'autorité, lorsqu'elle est mal utilisée, peut devenir une source de violence, générant des situations de pouvoir déséquilibrées.

La prévention de la violence à l'école nécessite une approche holistique. Des programmes de sensibilisation, axés sur la promotion du respect, de la tolérance et de l'inclusion, sont essentiels. La création d'un climat scolaire positif, où la communication est encouragée et le dialogue ouvert, peut contribuer à prévenir et à résoudre les conflits.

Il est également crucial d'offrir un soutien adéquat aux victimes de violence. Les structures éducatives doivent mettre en place des mécanismes de signalement et des dispositifs d'accompagnement psychologique. Les enseignants et le personnel éducatif jouent un rôle clé dans la détection précoce des signes de violence et dans la création d'un environnement où les élèves se sentent en sécurité pour exprimer leurs préoccupations.

En conclusion, la lutte contre la violence à l'école nécessite une mobilisation collective. En mettant l'accent sur la prévention, la sensibilisation et le soutien aux victimes, la société peut contribuer à forger des écoles où règnent le respect, la bienveillance et la paix. L'éducation ne se limite pas aux connaissances académiques ; elle englobe également la création d'un environnement éducatif sûr et propice à l'épanouissement de chaque élève.

Production écrite sur la violence à l'école 6

La violence à l'école, un phénomène regrettable qui gangrène parfois nos institutions éducatives, est une problématique complexe et préoccupante. Elle revêt différentes formes, allant des brimades verbales aux actes de violence physique, et elle impacte profondément le bien-être des élèves ainsi que le climat scolaire dans son ensemble.

Les brimades et l'intimidation entre pairs constituent une manifestation courante de la violence à l'école. Ces comportements peuvent avoir des conséquences graves sur la santé mentale des victimes, les plongeant parfois dans un isolement douloureux. Le harcèlement en ligne, amplifié par les réseaux sociaux, ajoute une dimension supplémentaire à ce fléau, transformant l'école en un lieu où l'on craint parfois les interactions sociales.

La violence verbale, qu'elle émane des élèves ou du personnel éducatif, peut également empoisonner le climat scolaire. Les mots blessants, la stigmatisation, ou même l'humiliation en classe créent un environnement toxique qui entrave l'apprentissage et le développement sain des élèves. Les enseignants, dépassés par des situations tendues, peuvent également devenir les victimes de cette violence.

Les raisons de la violence à l'école sont diverses, allant des dynamiques sociales complexes aux difficultés personnelles des élèves. Les inégalités, le manque de ressources, les pressions académiques et les problèmes familiaux peuvent contribuer à la montée de la violence. Il est essentiel de prendre en compte ces facteurs pour élaborer des solutions efficaces.

La lutte contre la violence à l'école nécessite une approche multidimensionnelle. La sensibilisation et l'éducation aux valeurs de respect, de tolérance et d'empathie sont fondamentales. Les programmes de prévention doivent encourager le dialogue ouvert, promouvoir la compréhension mutuelle et fournir des outils pour résoudre les conflits de manière pacifique.

La création d'un environnement scolaire sécurisé et bienveillant est une responsabilité partagée entre élèves, enseignants, personnel éducatif et parents. Les mécanismes de signalement des actes de violence doivent être clairs et accessibles, et les sanctions doivent être appliquées de manière équitable. Un soutien psychologique adéquat pour les victimes ainsi que pour les auteurs de violence est également essentiel.

En conclusion, la violence à l'école est une réalité qui nécessite une prise de conscience collective et des actions concertées. En favorisant un climat scolaire empreint de respect et d'inclusion, en investissant dans la prévention et en offrant un soutien adapté, la société peut contribuer à forger des écoles où règnent la sécurité, le bien-être et l'apprentissage serein.

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